Harmoniser et consolider les bonnes pratiques est essentiel au fonctionnement d’une structure multisites comme Diaverum France. C’est ce que permet l’offre GMAO en mode SaaS DIMO Maint MX de DIMO Maint. Laëtitia Barbier, directrice excellence opérationnelle, Pascal Kousonsavath, responsable bio médical et Raphaël Grappin, Service IT et responsable des paramétrages de Diaverum France, nous expliquent pourquoi.
Diaverum offre des soins néphrologiques aux patients atteints d’Insuffisance Rénale Chronique (IRC) partout dans le monde. Aujourd’hui, le prestataire de soins est présent dans plus de 24 pays où il assure plus de 6 millions de traitements par an à plus de 40 000 patients.
La technologie numérique, indispensable support de la mission de soins
Au sein de Diaverum, notre mission est d’améliorer la qualité de vie des patients insuffisants rénaux par des soins néphrologiques revitalisants qui prennent en compte aussi bien la dimension physique que psychologique des patients », a déclarée Laëtitia Barbier.
Aussi, cette mission ne pourrait pas être pleinement réalisée sans le support de la technologie numérique. Déjà, comme l’a rappelé Raphaël Grappin,
La technologie numérique s’inscrit dans notre démarche de développement durable avec l’éradication progressive du papier ». Ensuite, « l’utilisation de la GMAO est capitale pour une structure multisites comme la nôtre », ajoute le responsable des paramétrages. En effet, la GMAO joue un rôle essentiel dans la gestion de la maintenance et des équipements techniques.
En règle générale, cet outil nous permet d’harmoniser nos pratiques sur la France et de piloter la fonction maintenance tant dans sa dimension technique qu’économique. Il permet aussi de consolider les bonnes pratiques des établissements et de les partager avec les techniciens de nos équipes pluridisciplinaires », a déclaré pour sa part Pascal Kousonsavath.
De la GMAO en mode SaaS pour l’itinérance
La mise en production de l’outil a été lancée le 1er semestre 2023.
Nous avons choisi la solution SaaS DIMO Maint MX de DIMO Maint car nos techniciens sont pour la plupart itinérants, et une solution mobile était très attendue afin qu’ils puissent tracer leurs interventions rapidement et ce même hors réseau », a expliqué Raphaël Grappin. L’intégration a été techniquement très simple dans cette entreprise déjà très digitalisée par les nombreux outils qu’elle utilise déjà sur le plan médical, qualité, et opérationnel via notamment la gestion de ses stocks et des flux financiers, ou encore la connectivité de ses générateurs de dialyse. « Mais la maintenance manquait à l’appel pour un suivi efficace », a précisé Laëtitia Barbier.
Selon l’équipe de Diaverum, la solution GMAO de DIMO Maint apporte un outil puissant qui révèle son potentiel quand elle en a la totale maitrise.
La formation et l’accompagnement à l’utilisation de l’outil est donc capitale pour nous , ont-ils déclaré.
De manière générale, la GMAO permet à Diaverum de maitriser ses coûts de maintenance grâce à l’optimisation qu’elle apporte en gestion de stock et en maitrise des demandes d’achats. Elle permet également d’affiner les indicateurs de pilotage de la fonction par l’analyse (MTTR, taux de disponibilité, etc…), d’accompagner les techniciens grâce aux gammes qui permettent de rattacher des documents techniques et de définir les étapes d’une intervention.
Elle nous a aussi permis d’avoir un suivi des interventions préventives récurrentes et d’avoir une bonne traçabilité », a déclaré Pascal Kousonsavath.
Cette solution intuitive améliore nettement la gestion des interventions et de la maintenance. Enfin, en termes de paramétrage métier et d’adéquation aux habitudes de travail, la solution offre une grande adaptabilité avec de forts atouts en termes de mobilité.
Grâce à son accès web pour les sites distants et ses applications sur smartphone, tablette ou PC, elle peut permettre aux services techniques et de maintenance biomédicale de rester réactifs et d’intervenir rapidement, quelle que soit la demande, dans l’intérêt des équipes de soins et des patients », a convenu Laëtitia Barbier.
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